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Suppléments, modes de vie modernes page d’accueil et nutrition : rôle et état de l’art à la lumière des preuves scientifiques les plus récentes

Les enquêtes les plus récentes menées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et par l’ISTAT confirment une tendance pour l’Italie qui est périodiquement évoquée depuis quelques années :

Les décennies à venir

Dans l’un des pays où l’espérance de vie à la naissance est la plus élevée au monde (80,8 ans pour les hommes et 85,2 pour les femmes en 2017), juste derrière le Japon pour la proportion de plus de 65 ans par rapport aux plus jeunes (près de 170 seniors pour 100 enfants âgés de 0 à 14 ans), le nombre de personnes âgées et de personnes âgées devrait encore augmenter en 2017.

Ces données mettent certes en lumière le rôle de toutes les composantes favorables qui caractérisent notre société et notre mode de vie (santé, éducation, socialité, nutrition, etc.), mais elles mettent aussi en lumière quel devrait être l’objectif pour les années à venir : garantir non seulement une une vie plus longue, mais aussi en bonne santé.

  • Les décennies à venirUne condition essentielle sera donc l’utilisation de toutes les stratégies possibles pour réduire la prévalence des maladies chroniques dégénératives qui,
  • face à l’amélioration générale de certains facteurs de risque (indice de masse corporelle, tension artérielle) enregistrée par l’OMS il y a quelques années , 1 représentent toujours les principales causes de mortalité.

Les indications sur l’une des approches possibles au niveau de la population proviennent des résultats du Global Burden of Disease, une collecte d’informations sur la santé à 360 degrés des habitants de 195 pays menée par plus de 3 500 chercheurs.

Dans les dernières publications, les auteurs ont évalué l’impact potentiel de la correction des habitudes alimentaires sur la santé, concluant que les „erreurs” nutritionnelles les plus répandues pèsent sur le risque de mortalité (surtout pour causes cardiovasculaires et cancer) également dans notre pays, où le respect des .

Le régime méditerranéen reste globalement élevé

  • Une partie du risque réside dans la consommation excessive de catégories d’aliments et de nutriments dont les effets potentiellement défavorables sont connus, comme le sel, les sources de graisses saturées et trans, les sucres,
  • mais aussi, et dans une plus large mesure, l’apport insuffisant d’aliments (et de leurs composants) et de nutriments que nous absorbons moins que ce qui est recommandé (céréales complètes, fruits et légumes, noix avec coques et graines, légumineuses, lait, fibres, gras polyinsaturés, calcium).3,4

L’analyse du Global Burden of Disease confirme la validité des lignes directrices pour une alimentation saine, en soulignant un aspect quelque peu innovant : favoriser l’apport de composants spécifiques favorables de l’alimentation est probablement la stratégie la plus efficace en termes de santé publique.

Cette vision, qui réitère le rôle central d’une bonne nutrition, contraste avec l’approche restrictive, qui a longtemps été considérée comme la plus utile pour lutter contre les principaux facteurs de risque – surpoids et obésité, diabète, hypertension, dyslipidémie.

La soi-disant « nutrition positive », qui se concentre avant tout sur ce qui, tout en modulant favorablement la santé globale, n’est pas consommé en quantité suffisante, est corrélée aux concepts de « nutraceutique » – cette fusion entre « nutrition » et « pharmaceutique

De dont nous parlons depuis les années soixante

De dont nous parlons depuis les années soixanteDix du siècle dernier – et donc avec les nutraceutiques, ces composés généralement présents dans des régimes alimentaires variés et complets qui se sont révélés efficaces pour promouvoir et maintenir un état de bien-être, pour moduler le système immunitaire et pour prévenir ou traiter des maladies spécifiques.

  • Pour certains d’entre eux, ou plutôt pour certains de leurs composants, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA),
  • sur la base d’une analyse minutieuse de la littérature scientifique et des preuves disponibles, a autorisé l’utilisation d’indications (allégations) spécifiques nutritionnelles et sanitaires. ,
  • permettant et réglementant ainsi la communication au public des bénéfices liés à la consommation de nutriments ou de substances ayant un effet nutritionnel et physiologique, à condition qu’ils soient présents dans le produit final en quantités significatives et sous une forme utilisable par le corps.

Chaque allégation correspond à une définition précise des effets fonctionnels associés

Qui ont été déclarés pertinents pour la santé et le bien-être. Il a été reconnu que le maintien d’un « renouvellement » adéquat de protéines, essentielles à la formation et au maintien des organes et des tissus, est 2 à 3 fois supérieur à l’apport en protéines dans l’alimentation5 ;

La biodisponibilité, c’est-à-dire la bonne utilisation par une partie de l’organisme l’organisme des différentes substances, et notamment des vitamines et des minéraux, est considéré comme crucial pour les fonctions qui leur sont associées ;

  1. la protection des cellules (ADN, protéines, lipides) et des lipoprotéines LDL contre le stress oxydatif est reconnue comme un effet physiologique bénéfique ; des effets positifs ont été établis sur la fluidité des membranes cellulaires et vasculaires ;
  2. les acides gras polyinsaturés de la série oméga-6 et de la série oméga-3 sont définis comme essentiels pour l’organisme qui n’est pas capable de synthétiser de novo les précurseurs (acide linoléique et alpha-linolénique) et qui doit donc les introduire par l’alimentation en quantités définies.